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TheDecline01
le 13 janvier 2008
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Strapping Young Lad
07 juin 2005 - Paris - Bataclan
Strapping! Strapping! Strapping! Strapping! Ah bah ça pour sûr on le veut le Strapping car quand on écoute ce qu’on écoute et qu’on sait ce qu’on sait, c’est normal qu’on réclame ce qu’on réclame. Petit aparté. Retour au report. En ce mardi 07 juin, tout Paris est envahi par le frais. Tout? Non! Car Strapping Young Lad a décidé d’investir le Bataclan. Choix très surprenant d’ailleurs puisque cette salle n’est pas vraiment connue pour ces concerts de metal (une serveuse au bar demandera d’ailleurs fort judicieusement si le groupe qui passe après la première partie sera bien, ce à quoi on lui répondra «
ce sera brutal
»).
Mais la salle ne fait pas tout, loin de là! Et heureusement. En tout cas, cela m’aura permis d’aller au Bataclan qui est une jolie petite salle. Retour à la musique et ouverture des hostilités par les frenchies d’Oversoul en direct de Bordeaux. Ben forcément, l’assistance n’est pas venue pour eux et c’est devant un parterre très clairsemé et peu motivé qu’ils se produiront. Pas vraiment l’idéal pour faire un concert inoubliable. En plus leur death/thrash ultra simpliste n’est pas vraiment extraordinaire. Juste pas mal en concert avec une présence scénique correcte. J’ai bien eu peur que cela ne présage une soirée tristounette. Que nenni! Le courant est remonté comme par magie pour la dernière chanson qui était vraiment au-dessus du reste du set. Tout d’un coup la soirée monte d’un cran en intensité et ce fut finalement une parfaite mise en jambe pour Strapping.
Oui, Strapping, car il n’y avait qu’un groupe avant eux ce soir. Etrange, mais bon, tant qu’à faire, autant n’avoir qu’un groupe moyen que trois mauvais. Et puis on est tous venus pour Strapping de toute façon. Ca se voit, car une fois que les lumières se sont éteintes pour la deuxième fois de la soirée, la foule s’est amassée devant la scène. Enfin, amassée, c’est un bien grand mot. Car voici le carton rouge de ce concert: le public. Le Bataclan était loin d’être complet pour un groupe de l’envergure de Strapping! Qu’on ne s’étonne pas de voir les groupes déserter notre pays lors des tournées… Parenthèse terminée. Car la nuit est pour Strapping Young Lad et Heavy Devy. Son arrivée provoque l’ire du public. Une arrivée bien en phase avec le caractère du bonhomme, soit décalée sous fond d’une musique hindoue (opinion personnelle). Et surtout l’annonce d’un concert tout en fureur puisque c’est avec une "Imperial" tout en blast qu’il commence, et autant dire que ça fait mal. Très mal. Le public part donc en pogo immédiat et ça commence à slammer à tout va. Bref une soirée physique comme on les aime.
Car Strapping Young Lad en concert, c’est une patate peu commune avec un Devin qui sait faire le show avec une présence scénique formidable. Il mène la foule à son gré et c’est avec plaisir que l’on fait ce que Devin demande. De ce côté, aucun problème donc. Par contre, du côté du son, on pouvait s’attendre à du gros son, on l’a eu. On pouvait s’attendre à du son clair, net et précis, on ne l’a pas eu. C’était un peu brouillon en effet. Difficile de tout distinguer quand la machine tournait à plein régime. Pourtant, cela n’empêchera pas le public de reconnaître et applaudir immédiatement tous les titres joués et même repris en chœur (!!!) lorsque refrain il y avait. Beaucoup de connaisseurs visiblement. Et même si on a parfois eu du mal à tout bien distinguer, il y a cette claque monstrueuse dans la gueule à chaque riff, chaque blast, chaque cri. Ca vous fait tout oublier pour ne vous concentrer que sur votre pied, car vous le prenez. Et si jamais vous vous étiez ennuyé (hérétique!), le rappel vient pour vous tuer: "Detox"! Quand on parle tabassage de gueule, elle se pose là.
En bref, un concert qui a ratatiné mémé et prouvé que Strapping Young Lad est un grand groupe de scène. Hautement recommandable.
P.S: un petit mot sur Gene Hoglan, la légende de la batterie. Certes, il cogne vite et bien, mais surtout, quel gros lard!
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