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CHRONIQUE PAR ...
Malice
Cette chronique a été mise en ligne le 01 juin 2021
Sa note :
15.5/20
LINE UP
-John Wesley
(chant+guitares)
-Dean Tidey
(guitares)
-Patrick Bettison
(basse)
-Mark Prator
(batterie+percussion)
TRACKLIST
1)
Disconnect
2)
Any Old Saint
3)
Once a Warrior
4)
Window
5)
Gets You Everytime
6)
Mary Will
7)
Take What You Need
8)
How Goes the War
9)
New Life Old Sweat
10)
Satellite
DISCOGRAPHIE
Disconnect
(2014)
Wesley, John
- Disconnect
(2014) -
rock
touche-à-tout
- Label :
Inside Out Music
Dans un monde où le nombre d'albums vendus prime sur la qualité de la musique, la sincérité des artistes a vite fait de devenir une vertu inutile sur laquelle plus personne ne compte. C'est bien dommage car tous les mois, de nouveaux musiciens se démènent pour offrir des compositions de plus en plus léchées à un public bien trop habitué à la médiocrité. John Wesley fait partie de ces artistes trop peu connus, faisant leur bonhomme de chemin et sortant de temps en temps un album dont une seule track vaut mieux que toutes celles du top 40. Son tout nouvel effort,
Disconnect
, ne fait pas exception à la règle.
Actif depuis des années, John Wesley est connu pour avoir collaboré avec de grands noms du milieu du rock. Ces grands noms (Porcupine Tree, Mike Tramp, Fish) l'ont aidé à développer un style varié lui permettant de faire cohabiter prog ("Any Old Saint"), hard rock ("Gets You Everytime") et pop-rock ("Mary Will") sur un même album. Le résultat est aussi surprenant que jouissif, ne laissant jamais vraiment le temps à l'auditeur de se lasser. Malgré tout,
Disconnect
contient quelques longueurs et s'essouffle légèrement sur une deuxième moitié moins pêchue que la première (on aurait préféré un deuxième "New Life Old Sweat" à un "Satellite" qui traîne en longueur).
Heureusement, la diversité des structures rythmiques et des styles permet de donner à cet opus un intérêt certain, faisant de chaque piste un véritable petit monde d'ambiances, allant des plus sombres et heavy ("Any Old Saint", "Once a Warrior" et son formidable solo) aux plus lumineuses (le naïf "Window" ainsi que "Mary Will", ballade classique mais ô combien émouvante). Cette variété vient sans doute des diverses influences que Wesley a amassé tout au long de sa carrière et qu'il peut désormais mettre à l'honneur dans chacune de ses compositions. Il faut d'ailleurs plusieurs écoutes pour parvenir à en apprécier pleinement la richesse.
Si ce n'était que ça,
Disconnect
serait un album plutôt bon, techniquement intéressant et très rafraîchissant dans le paysage musical actuel. Cependant, l'enthousiasme et la joie qu'éprouve Wesley à jouer s'entendent à travers sa voix (enfantine dans "Window", pleine d'énergie dans "How Goes the War", etc). C'est pour cela que je vous parlais de sincérité musicale ; cette formidable énergie, Wesley l'a et cherche à nous la communiquer à travers sa musique. Pour un peu, on pourrait presque l'imaginer en studio, un grand sourire aux lèvres à l'idée des concerts à venir...
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