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CHRONIQUE PAR ...
TheDecline01
le 20 janvier 2008
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Pain Of Salvation
24 avril 2005 - Paris - La Locomotive
Grosse soirée en prévision à la Loco en ce Dimanche 24 Avril 2005. Avec un Pain Of Salvation en tête d’affiche très attendu après le très personnel et très peu rendable en concert
Be
et un Dark Suns qui s’est offert de beaux jours dans la presse spécialisée avec des critiques plutôt élogieuses pour son dernier album, la soirée s’annonce bonne et chargée en émotions. C’est donc sans surprise que l’arrivée devant la Loco se fait devant un parterre de trottoir bien chargé en metalleux pas trop extrêmeux (et ça, c’est rare devant la Loco).
D’ailleurs le parvis sera tellement rempli que les derniers arrivés, dont votre serviteur aura l’honneur et le bonheur de faire partie, auront l’exceptionnel privilège de rentrer vingt bonnes minutes après le début du concert de Dark Suns… Merci la Loco pour son organisation toujours sans faille. Bref de l’attente dans le vent, mais l’arrivée permettra de juger d’un groupe en plein exercice de ses fonctions et bien lancé dans son set. Première constatation, ça fourmille de toute part et se frayer un chemin vers LA place qui tue est bien dur. Deuxième constatation, Dark Suns délivre un show qui a l’air de réjouir l’assistance. Cool. Ca commence bien. Et effectivement, après une mise en chauffe sonore, cette première partie passera bien dans les canaux auditifs.
La caractéristique principale du groupe résidant toutefois non pas dans ses compositions mais dans son chanteur, le batteur. Aussi surprenant que cela puisse paraître, c’est bel et bien notre ami batteur qui assurera le chant tout au long du concert. Bon, on veut bien croire qu’ils n’ont pas assez de pognon pour se payer un batteur de cession, mais ça fait vraiment bizarre et dénature quelque peu le show. Néanmoins cela n’empêche pas une bonne prestation d’ensemble et une mise en ambiance que l’on juge alors difficile à surclasser aisément. Des chansons bien construites, simples et finalement pas très complexes pour du prog, même metal, mais un tout qui le fera durant cette première demi heure, et pas desservi par un son pérave.
Pourtant, il est évident que tout le monde est venu pour Pain Of Salvation. Les t-shirts ne trompent pas. Et la chaleureuse attente aussi. On veut Pain Of Salvation! Autant le dire tout de suite, même si sur CD il s’agit d’un grand groupe, j’avais un peu peur au dire des bruits de couloirs sur leur dernière tournée apparemment peu convaincante. L’arrivée du groupe fut donc déterminante pour la suite du concert. Est-ce que ça allait tout déchirer? Ca commence fort en tout cas avec un "Used" des familles. Premier constat: le groupe est excellemment en place et a la bougeotte! Le gratteux rasta nous saute dans tous les coins! Déception cependant, le son pue un peu avec une batterie carrément trop forte. Mais ce point ira en s’améliorant au fil du concert (ou bien nos oreilles sont-elles allées en se dégradant?).
Et après… Et bien après Pain Of Salvation a montré qu’il décalquait tout sur son passage et si possible avec classe. Des musiciens qui s’accommodent de leurs partitions sans problème particulier à signaler, si ce n’est le son trop imprécis pour rendre justice à la quasi perfection des compositions. Et puis cette présence scénique! Gargl. Vraiment. J’ai été épaté par la façon dont Pain Of Salvation a régné sur la scène. Ils étaient là et bien là. Gildenlow s’est imposé clairement comme un frontman de première classe en communiant parfaitement avec le public, en sachant jouer la comédie (quand il s’est ramené en beau gosse avec lunettes noires, costard et chemise ouverte jusqu’au milieu du torse, ce fut un grand moment) et surtout en chantant divinement. Limite des fois on croyait au play-back. Et pourtant non.
Les chansons hymnes se sont en tout cas enchaînées dans un malstrom sonore jouissif confinant au génie. Personnellement j’ai été bluffé. Autant j’attendais beaucoup l’air de rien de ce concert, autant mes espérances ont été éclatées comme de vulgaires baudruches. On en a pris pendant deux heures plein les mirettes et les tympans sans vouloir un jour se quitter. Même les chansons de
Be
que je n’apprécie que peu finalement m’ont mises à genoux. Bref, fabuleux. Mais toutes les bonnes choses ont malheureusement une fin. Et c’est donc sous un hourra indescriptible de vigueur que le groupe nous a quitté une première fois… Pour revenir nous faire deux chansons en rappel. Et c’est une seconde fois que le groupe repartira sous les acclamations d’un public à ses pieds… Pour revenir une seconde fois. Miam! Ce fut ainsi heureux et repus d’un concert bien copieux et surtout apte à entrer directement dans ma légende personnelle que le public et Pain Of Salvation finirent cette folle soirée.
En conclusion pour ceux qui ne l’auraient toujours pas compris, Pain Of Salvation a donné un des concerts de ces cinq dernières années à n’en pas douter. Avec un public aux anges et réceptif comme très peu souvent, cette soirée a confiné à l’orgasme progo-metallique. Rien de moins.
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