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CHRONIQUE PAR ...
Count D
le 20 janvier 2008
SETLIST
Ghost Of Perdition
When
White Cluster
Closure
Bleak
The Grand Conjuration
Under The Weeping Moon
The Baying Of The Hounds
A Fair Judgement
Rappel:
Deliverance
AFFILIÉ
Opeth
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Opeth
11 décembre 2005 - Lyon - Transbordeur
Lyon, le froid, la nuit… De belles conditions pour un concert de metal, surtout pour celui d’Opeth, pour qui ce ne fut pas la première fois, loin de là. Le Transbordeur acceuillait pour cette soirée deux groupes. Le précité en tête d’affiche et Burst, combo suédois, venu épauler la tête d’affiche. Pour la première fois à ma connaissance, la grande salle du Transbodeur ouvrait ses portes à des groupes extrêmes. Marduk, Loudblast, Hypocrisy et bien d’autres encore n’avaient pu s’offrir que la petite scène.
Quasiment remplie dès le début de soirée pour la première représentation lyonnaise de Burst, l’ambiance sentait déjà le vin chaud et la bonne compagnie. Burst commence. Leurs têtes de jeunes et le feeling des musiciens font que tout tourne bien pour eux dès le départ. Le charisme et la voix du chanteur permettent de soulever les foules. Dans un registre très hardcore mais avec une touche à la Opeth dans les changements de rythme, le groupe se fait remarquer par ses compétences techniques et sa relative aisance sur scène. Avec près de quarante minutes de jeu, même si le public est visiblement ici pour recevoir Opeth, Burst convainc son public par son dynamisme et sa verve.
C’est enfin au tour d’Opeth, acclamé à chaque semblant d’obscurité. Ils n’en sont pas à leur première venue (troisième?). Pour moi si. Ce qui rend la tâche d’appréciation - et surtout de comparaison - difficile. En tout cas et dès le début, Mikael Akerfeldt se montre proche du public, mais avec de plus en plus d’aisance au fur et à mesure du show. Deux heures de jeu plongeront le Transbordeur dans une ambiance nordique, à la fois froide, complexe et chaleureuse. Je ne savais pas à quoi m’attendre en voyant Opeth sur scène. Et bien c’est surtout à du professionnalisme et à de la rigueur que le public et moi-même avons assistés. En lieu et place de Martin Lopez à la batterie, le batteur de Bloodbath Martin ‘Axe’ Axenrot a pris les fûts, pour un set complet, parfaitement en place, mais sans la sensibilité du batteur originel. Le jeu de ce dernier semblait en effet parfois lourd et brutal comparé à la sensibilité musicale des autres membres du groupe. Autre chose assez étrange, ne connaissant pas le groupe sur scène, la position passive et loin du public du bassiste Martin Mendez choque un peu. Il faut attendre quelques passages plus catchy pour qu’il daigne se décoller du batteur et venir bouger sa tête près du public…
Avec plus de deux heures de set, Opeth a balayé une playlist assez originale, plutôt loin des classiques du genre, piochant ici et là des titres de chaque album, quelque soit la période. On a alors eu droit bien sûr au dernier
Ghost Reveries
, impeccablement exécuté, ainsi que pas mal de titres des anciens dont
Blackwater Park
et
Still Life
. Ainsi se sont suivis "Ghost Of Perdition", "When", "The Grand Conjuration" (bon moment), "Under The Weeping Moon" et d’autres comme "A Fair Judgement". Bon moment aussi avec "White Cluster", montrant l’aisance des musiciens pour l’interprétation d’anciens titres, ici du «
red album
»
Still Life
(selon les termes de Mikael). Le son, correct pour ce show, sans plus, donnait la part belle aux parties acoustiques et chants clairs.
Finalement, c’est avec la verve du public qu’Opeth accorde le rappel aux oreilles lyonnaises encore gourmandes. Et bien sûr grand moment lors de ce rappel avec, selon les propres mots de Mickael, le chef d’œuvre "Deliverance". Belle interprétation, très propre, avec le final rythmique bien connu. Les foules ont déliré sur quelques pogos, pour une musique comment dire: comme prévue, mais très agréable! Seuls les coups de double pédales lors de ce final sonnèrent bizarrement, trop en avant, gâchant quelque peu le reste. Bref, bon concert, découverte de Burst, convaincant sur les planches, et surtout show propre et charismatique de Opeth, assez dense et touffu, écumant les salles de concerts avec son répertoire maintenant complet, même si je m’étais attendu à entendre ce soir des titres plus "classiques" et donc entraînants.
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