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CHRONIQUE PAR ...
Painlesslady
le 08 juillet 2012
SETLIST
Never Dead
Head Crusher
Hangar 18
Trust
In My Darkest Hour
Foreclosure of a Dream
She-Wolf
Dawn Patrol
Poison Was the Cure
Sweating Bullets
A Tout Le Monde
Angry Again
Guns, Drugs & Money
Whose Life (Is It Anyways?)
Public Enemy No. 1
Symphony of Destruction
Peace Sells
Holy Wars... The Punishment Due / Mechanix
Silent Scorn (outro)
AFFILIÉ
Megadeth
Clisson - Hellfest
(24 juin 2007)
Paris - Elysée Montmartre
(26 février 2008)
Oslo – Sentrum Scene
(24 mai 2013)
Megadeth
15 juin 2012 -
Hellfest
Cette première journée de festival touche bientôt à sa fin avec Megadeth en tête d’affiche. Last but not least, me direz-vous. Et vous avez raison. Même si l’inspiration a quelque peu faibli sur les derniers albums et malgré les changements de line-up, Medageth reste un pilier du Big Four, avec sa patte unique, ses vocaux reconnaissables entre mille et surtout la personnalité à part de son maître à penser, Dave Mustaine.
Et le moins qu’on puisse dire, c’est qu’il est attendu ce soir le sieur Mustaine. Déjà placée une bonne demi-heure avant le début du set, une foule compacte attend et des impatients réclament déjà leur leader préféré. : «
le rouquin, il est où le rouquin ?
» fusent çà et là. J’en entends même à côté de moi s’interroger sur la qualité de la prestation à venir. Il faut dire qu’avec notre ami Dave, réputé pour son humeur changeante et imprévisible (rappelez-vous
l’Elysée Montmartre en 2008
), on ne sait jamais à quoi s’attendre. Ce soir, c’est la 6ème fois que je vois le groupe sur scène et je plains toujours ceux qui les découvrent pour la première fois tant l’expérience est à pile ou face. Pile, Mustaine est en forme et le show se déroule bien. Face, l’énergumène a un pet de travers et le public en fait les frais avec un set version minimum syndical, voire écourté.
Mais bonne surprise lorsque le groupe fait son entrée, Dave Mustaine est tout sourire et semble ravi d’être là (limite bourré murmureront certains). Ouf, on respire. Mais rien n’est encore gagné à entendre les premières notes de l’opener "Never Dead", extrait du dernier album
Th1rt3en
, manifestement pas le morceau le mieux connu du public. Le son est catastrophique avec une batterie bourdonnante qui rend l’ensemble difficilement reconnaissable. Le tout aggravé par un Mustaine qui galère manifestement au chant. Il faudra attendre les 4 premiers titres pour que le groupe rectifie un peu le tir. Mais du coup, difficile pour le public de rentrer tout de suite dans le concert et dommage pour le tubesque "Hangar 18" joué en 3ème position et qui se retrouvera un poil massacré. Et là, je prie secrètement pour que les autres morceaux cultes ne subissent pas le même sort.
Si on est habitué à ce que Mustaine ne soit pas le frontman le plus expansif du monde ni une bête de scène, montrer un peu plus d’entrain à la tâche et parler au public entre les morceaux aurait peut-être aidé à insuffler plus d’ambiance dès le début. Mais le son un peu meilleur à partir de "Trust" rassure pour la suite du set. Et fort heureusement, les acolytes de Mustaine font du bon boulot : l’excellente exécution de Dave Ellefson à la basse est bien mise en avant et le duo Mustaine/Broderick fonctionne parfaitement. Au milieu de ce show assez tiède, il y aura des moments forts comme sur "A Tout Le Monde" avec un public tout content de s’époumoner en chœur sur le refrain et des bonnes surprises avec "Foreclosure of a Dream", morceau de
Countdown to Extinction
rarement joué en live.
Ceci nous amène à parler setlist. Chez Megadeth, celles-ci sont rarement innovantes, il faut bien le dire. Contrairement à ses anciens rivaux de Metallica, Mustaine n’est pas du genre à préparer des setlists sur mesure pour chaque concert. On a généralement droit aux mêmes titres avec un enchaînement plus ou moins sans surprise. Passons sur le choix discutable de l’opener mais que dire de cet enchaînement plutôt malvenu de trois titres du dernier album, vrai trou noir, qui fait retomber l’enthousiasme en fin de concert juste après l’excellente triplette "Sweating Bullets" / "A Tout Le Monde" / "Angry Again". Heureusement, ce "Sweating Bullets" endiablé aura été un grand moment avec un Mustaine qui semble prendre autant de plaisir que le public. Il y aura d’autres bonnes surprises comme l’inédit "Angry Again", morceau composé pour la BO du film
Last Action Hero
. Encore mieux, à la fin du concert, après la bombe "Peace Sells", voyant qu’il reste plus de temps que prévu, Mustaine nous propose de choisir un morceau avant de clore avec son rappel culte. Finalement, il nous prendra par surprise en incluant "The Mechanix", au milieu de "Holy Wars".
Alors que le solo de trompette de "Silent Scorn" retentit, signifiant la fin du set, on se dit que ce final surprise aura permis de finir de façon inattendue et pour le plus grand bonheur des fans des premières heures sur une note plus enthousiasmante. Vous l’aurez compris, ce set en demi-teinte ne rend pas forcément justice à ce que Megadeth est capable de faire. Mais on vous l’avait dit au début, avec le Dave, c’est toujours à pile ou face…
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