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CHRONIQUE PAR ...
Ptilouis
le 09 juillet 2016
SETLIST
Right Now
Here to Stay
Somebody Someone
Falling Away From Me
Coming Undone
Shoots and Ladders (with a snippet of Metallica's… more )
Blind
Twist
Did My Time
Y'All Want a Single
Encore:
4 U
Got the Life
Freak on a Leash
AFFILIÉ
Korn
Hellfest (Clisson)
(22 juin 2013)
Korn
18 juin 2016 -
Hellfest
Alors que l’hommage à Lemmy dure un peu trop longtemps, la foule commence à se masser devant la MS2 en attendant l’arrivée de l’un des grands groupes de néo-metal : les Américains de Korn. Car les gens le savent bien, malgré les derniers albums en demi-teinte, Korn en concert, ça défonce et notamment grâce au charisme et au chant versatile de Jonathan Davis. Et ce soir-là, comme la semaine dernière au Download Festival, le groupe va clairement envoyer du très lourd.
Pourtant on pourrait s’en lasser de voir les Américains occuper presque tous les ans le devant de la scène du Hellfest. Lors de l’édition précédente, ils étaient venus jouer l’intégralité de leur album éponyme. Cette fois-ci, ils reviennent avec une sorte de best-of de leurs anciens titres. Peu risqué certes, mais cela marche à merveille devant un public conquis d’avance. Aucun titre des trois derniers albums ne sera joué et personne ne s’en plaindra. Si à cela, on ajoute un Jonathan Davis en forme olympique, il est clair que le show ne pouvait être que réussi.
Cela commence très fort avec les «
I fucking hate you
» de "Right Now", puis la puissance brute d’un "Here To Stay". Mais les frissons viennent surtout avec l’impressionnante maîtrise vocale de "Somebody Someone" qui met tout le monde d’accord : Jonathan Davis est visiblement très en forme. Côté lightshow, celui-ci s’avère très joli, sans être ni tape-à-l’œil, ni complètement fou. Efficace et classe tout simplement.
Pour ce qui est du jeu de scène, si les autres musiciens s’avèrent très carrés mais assez discrets (bon soyons honnête, Fieldy transpire la classe avec ses lignes de basses bien senties), Jonathan Davis lui, n’hésite pas à aller d’un côté à l’autre de la scène, à s’approcher du public de sa démarche chaloupée et à utiliser une cornemuse pour l’intro de "Shoot and Ladders". Le groupe s’autorise d’ailleurs une petite fantaisie lors de la fin du morceau en y incorporant un bout de "One" de Metallica, le chanteur singeant même James Hetfield. Marrant.
Pour le reste, rien à dire. Le groupe maîtrise, offre un "Blind" surpuissant et aussi un rappel classique mais toujours aussi efficace. Que ce soit "4 U" révélant un public qui participe sans déplaisir ou les deux morceaux de
Follow The Leader
, les Américains savent conquérir la scène. Au final, il est simplement dommage que le show ne dure qu’une heure. Car lors du Download, le groupe avait eu le temps de jouer une reprise très réussie de "Another Brick in The Wall" de Pink Floyd. Mais ce sera vraiment bien tout ce que l’on peut regretter d’un show aussi maîtrisé.
Crédits photo :
Nidhal Marzouk
Toute reproduction interdite sans autorisation écrite du photographe.
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