19922

CHRONIQUE PAR ...

106
Belzaran
Cette chronique a été mise en ligne le 12 août 2025
Sa note : 13/20

LINE UP

-Michael Torka
(chant)

-Tristan Schubert
(guitare)

-Dominik Hellmuth
(guitare)

-Florian Böhmfeld
(basse)

-Manuel Lüke
(batterie)

TRACKLIST

1) Dust
2) His Dark Materials
3) Defiance
4) One Church over All
5) Dying Knows No Bounds
6) Reign Supreme
7) Under the Sun of War
8) Ascension
9) Until We Meet Again
10) Republic of Heaven

DISCOGRAPHIE

Defiance (2025)

Nightbearer - Defiance
(2025) - death metal black metal mélodique - Label : Testimony Records



Étiqueté death metal mélodique, Nightbearer nous propose son troisième album. C’est allemand, alors on est en droit d’attendre de la « deutsch Qualität », mais on sait que pour le style pratiqué, mieux vaut être domicilié plus au nord. Voilà donc Defiance, un album de quarante-cinq minutes et dix morceaux.

Tout commence par une introduction acoustique toute calme et un peu sèche, "Dust". Nightbearer démarre alors sur les chapeaux de roue avec "His Dark Materials". Scream combiné à un blast beat, c’est tellement commun qu’on en serait presque lassé. Le morceau rappelle du Dissection, pas loin du black/death mélodique qui a inspiré tant de monde. Le morceau est plutôt bien foutu, mais sur des rails parfaitement droits. "Defiance" enchaîne, avec une ambiance plus typé melodeath. Encore une fois, c’est sympa, mais très balisé. Ce sera comme cela sur toute la galette.
Les pistes sont plutôt réussies, mais sonnent déjà entendues. Heureusement, quelques petites surprises viennent casser la routine, comme "One Church Over", au rythme plus posé, qui propose une musique moins cousue de fil blanc. Le reste est plus classique : tremolos, blasts beats et tout le tralala d’usage. Les claviers sont presque absents. Le chant, lui, fait le taf, avec plus de corps que dans d’autres groupe du genre. Au final, l’album s’écoute sans problème, sans usure, mais sans réelle passion. C’est un constat un peu dur, car le groupe cherche vraiment à bien faire et y met de l’intensité. On sent les morceaux peaufinés, mais, hélas, ça ne suffit pas.


Peut-être que des gens trouveront cet album meilleur que ce que je veux bien en dire. Quand on l’écoute, on a envie d’être positif, car il y a de bonnes choses. Mais il manque quelque chose pour s’extirper de la masse des sorties. Que les gars continuent de bosser, qu’ils se lâchent et peut-être qu’on les retrouvera plus en forme encore.





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