« The sub-genres are many, but the only thing that matters, is how these guys put everything on the table. All of their sorrows and victories being emitted through their epic guitar riffs, the dirty bass, the beaten up drums and the angry vocals. » Les voilà qui recommencent avec leurs bêtises. Je ne suis pas naïf, je sais bien qu'il faut se vendre. Mais zut à la fin. C'est vraiment trop, pour, au final, une musique vraiment moyenne (moyenne basse). Et si les riffs de guitares sont certes bons (on répète les deux points forts : ces riffs et l'esprit stoner - ce qui peut-être suffisant pour prendre son pied), ils ne sont surement pas « epic ». La basse est bien « dirty », elle, c'est vrai. Comme l'est toute la production, finalement. On dira que ça colle avec le genre pratiqué. Rien à dire sur la batterie, elle fait son taf, et plutôt pas mal, au milieu de ce sludge-prog-stoner-mi-moche-mi-pas-mal mi-j'ai-autre-chose-à-écouter-en-priorité. Car dans l'absolu, la musique de Plöw n'est pas mal. C'est juste qu'il y a vraiment plus captivant en ce second semestre 2013.