19977

CHRONIQUE PAR ...

106
Belzaran
Cette chronique a été mise en ligne le 15 octobre 2025
Sa note : 13/20

LINE UP

-Julian David Bellenox
(chant)

-Per Daniel Jimmy Lundqvist
(guitare)

-Markus Svensson
(guitare)

-Benjamin Hjort Andersson
(basse)

-Arvid Olof Borg-Wall
(batterie)

Ont participé à l'enregistrement :

-Per Ola Arne "Pelle" "Hellbutcher" Gustavsson
(chant sur 9)

-Matte Klang
(guitare sur 11)

-Lars Thomas von Wachenfeldt
(violon sur 1)

TRACKLIST

1) Grip of Ancient Evil
2) Untreatable Decay
3)
Skin 'Em All
4) Conquering the Unknown
5) Hunt in the Shadows
6) Fed to the Dead
7) Wings of Death
8) Graveyard Rising
9) Inner Demon
10) Insane Death
11) Consumed by Insects

DISCOGRAPHIE


Entrails - Grip Of Ancient Evil
(2025) - death metal façon swedeath - Label : Hammerheart



Sans avoir jamais été fan, je deviens un spécialiste d’Entrails au fil des promos que nous recevons. Hélas, si je me souviens du nom, je n’ai pas gardé en mémoire leur musique, de qualité, certes, mais pas assez marquante. Voilà une nouvelle possibilité pour moi de prendre le train en marche avec Grip Of Ancient Evil, leur dernier et septième album.

Tout commence par le morceau éponyme. Une introduction instrumentale folk pas du tout metal. Voilà qui est peu pertinent vu ce qui nous attend par la suite : du bon vieux swedeath à papa. "Untreatable Decay" se révèle plein de promesses en nous balançant un solo dès son début. Une chanson pas avare en riffs de guitares. Le tout est expressif et porté par un chant de qualité, bien que sans originalité. Ce sera hélas le meilleur morceau de la galette. Le reste ne démérite pas même si, sans nous infliger d'indigestion, il se révèlera plus fade. Les guitares tronçonnent, l’énergie est bien présente.
Mais cette année nous a offert des albums du genre plus brillants (Lik pour ne pas les nommer). Entrails, une nouvelle fois, se retrouve dans les albums sympas mais qui peinent à s’extraire de la masse. Une formation respectable, qui maîtrise son sujet sans le sublimer. Trop sage sans doute. Il manque quelques écarts, quelques mélodies en plus ou de la rage supplémentaire. Frustrant. On notera que le groupe nous a refait le coup du passage pompé sur la musique classique avec la sonate au clair de lune (premier mouvement). Une autre fois, c’était Chopin. Le tout est plaqué artificiellement. Hélas, c’est aussi un moment marquant. Faut dire que Beethoven, ce n’était pas un manche.


Bis repetita. Entrails joue du swedeath et le fait bien, mais pas super bien. Un album bien foutu, mais sans génie. Ça s’écoute, mais ça ne se relance pas. On a beau essayer de se convaincre que c’est quand même bien, il manque des riffs percutants, un refrain qui reste en tête… Bref, ce qui fait la force des grands albums du style.





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