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CHRONIQUE PAR ...
TheDecline01
Cette chronique a été mise en ligne le 01 juin 2021
Sa note :
16/20
LINE UP
-Abbath
(chant+guitare)
-Apollyon
(basse)
-Horgh
(batterie)
TRACKLIST
1)
Intro
2)
The Sun No Longer Rises
3)
Withstand the Fall of Time
4)
Sons of Northern Darkness
5)
Tyrants
6)
One by One
7)
Wrath From Above
8)
Unholy Forces of Evil
9)
Unsilent Storms in the North Abyss
10)
At the Heart of Winter
11)
Battles in the North
12)
Blashyrkh (Mighty Ravendark)
DISCOGRAPHIE
Diabolical Fullmoon Mysticism
(1992)
Pure Holocaust
(1993)
Battles In The North
(1995)
Blizzard Beasts
(1996)
At The Heart Of Winter
(1999)
Damned In Black
(2000)
Sons Of Northern Darkness
(2002)
All Shall Fall
(2009)
The Seventh Date of Blashyrkh (DVD)
(2010)
Immortal
- The Seventh Date of Blashyrkh (DVD)
(2010) -
black metal
- Label :
Nuclear Blast
Quand les légendes s’éteignent, elles deviennent des mythes. Quand elles renaissent elles redeviennent légendes ou sombrent dans l’oubli. Immortal a vécu pareil destin en stoppant net son élan en 2003. 2007 fut l’année de sa renaissance et après quelques échauffements, au Hellfest notamment, rendez-vous fut pris au Wacken Open Air, plus gros festival européen de metal avec sa horde de metalleux fidèles et très bon public, et donc forcément rendez-vous incontournable où il ne fait pas bon se louper. D’autant plus qu’il ne s’agit que du ... 1er live du groupe finalement. 20 ans plus tard donc.
Heureusement Immortal est arrivé fin prêt pour le plus grand bonheur de tous ses fans. La prestation du Wacken en 2007 restera une grande date, et la voir dorénavant en DVD est un grand plaisir. Le plaisir est d’autant plus grand pour votre serviteur que je faisais partie de la foule présente ce soir là (
le live-report
). Le souvenir d’un son bon et d’une prestation bien plus carrée qu’au Hellfest est bien confirmé par les images et le son de ce testament live. Le groupe balance une purée très conséquente dans les assiettes des festivaleux. Et bien sûr, Abbath est toujours ce bout-en-train légendaire du black metal, faisant mimiques improbables, haranguant le public, il faut le voir faire l’abruti en plein milieu de Tyrants, se moquant ouvertement de lui (un merveilleux «
How mother fuckers are you doing mother fuckeeeeeerrss ?!!!!!
») etc ... tellement de choses non black metal !! C’est qu’il le fait tellement bien il faut dire. Abbath en impose clairement sur scène et attire les yeux.
Bien sûr, l’ignorer serait faire injure à Horgh, impressionnant derrière son kit, et absolument impeccable. Il bat le rythme avec une assurance plus que satisfaisante, et se permet même de le taper plus vite que sur album, avec le même carré ! Impressionnant. Le bassiste de session de l’époque (Apollyon) gère ce qu’il faut et s’autorise quelques mimiques de son cru mais clairement le maître d’hôte est Abbath de toute façon. Il navigue d’ailleurs entre les 2 micros disposés sur la scène avec ses fameuses jambes ridiculement écartées. Un grand bonhomme que de garder une prestance hors du commun avec ça. Le public n’est pas en reste, se faisant ouïr et répondant aux injonctions d’Abbath sans coup férir. La setlist arrache les boeufs qui plus est, avec tous les classiques, "At the Heart of Winter", "One by One", "Blashyrkh (Mighty Ravendark)" etc ...
Tout ça entérine la présence d’Immortal au Panthéon des groupes black en live. Le groupe se livre et fait de son concert un vrai live en enrichissant sa musique par rapport aux albums. Il inclut des pauses impromptues ou le fameux concours de crachat de feu d’Abbath. Mais pour qu’un live soit épique, outre le groupe, il faut que le son soit à l’avenant, et c’est le cas ici. Puissant, clair, il n’est au pire que peu overdubbé car on entend les pains (merci Abbath), les grésillements et les soli faits à l’arrache. On remarque de même l’absence de 2e guitare dans ces moments, mais ce n’est franchement pas très grave. Pour finir avec la partie technique, l’image est propre, les couleurs pas dégoulinantes et les cadrages sont nombreux et en général bien faits. On regrettera de ne pas trop voir Horgh dans ses oeuvres, mais globalement, la réalisation tient la route sans être épileptique.
La conclusion d’un tel live, c’est qu’Immortal est grand sur scène. La setlist en impose avec une revue de tous les classiques étalés sur toute sa carrière, le groupe est au pinacle, bref c’est le spectacle et c’est tout ce qu’on demande. Les artifices sont peu nombreux mais on en prend plein la gueule et surtout Immortal mérite d’être vu en plus d’entendu. On pourra seulement pester sur la durée de l’ensemble, à peine plus d’1h, et sans bonus.
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