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CHRONIQUE PAR ...
Ptilouis
le 21 mars 2016
SETLIST
ACT I
Descent of the NOMACS
Dystopian Overture
The Gift of Music
The Answer
A Better Life
Lord Nafaryus
A Savior in the Square
When Your Time Has Come
Act of Faythe
Three Days
The Hovering Sojourn
Brother Can You Hear Me?
A Life Left Behind
Ravenskill
Chosen
A Tempting Offer
Digital Discord
The X Aspect
A New Beginning
The Road to Revolution
Entracte
ACT II
2285 Entr'acte
Moment of Betrayal
Heaven's Cove
Begin Again
The Path That Divides
Machine Chatter
The Walking Shadow
My Last Farewell
Losing Faythe
Whispers on the Wind
Hymn of a Thousand Voices
Our New World
Power Down
Astonishing
AFFILIÉ
Dream Theater
Paris - Parc des Princes
(25 juin 2005)
Paris - Zénith
(07 février 2002)
Frauenfeld - Festhalle Ruegerholz
(04 février 2004)
Lille - Aéronef
(13 octobre 2005)
Frauenfeld - Festhalle Ruegerholz
(28 octobre 2005)
Clisson - Hellfest
(24 juin 2007)
Clermont-Ferrand - Coopérative de mai
(26 juin 2007)
Paris - Zénith
(31 janvier 2014)
Paris - Zénith
(05 octobre 2007)
Hellfest (Clisson)
(21 juin 2009)
Sonisphere France (Snowpark, Amnéville)
(08 juillet 2011)
Dream Theater
06 mars 2016 - Paris - Le Palais des Congrès
Contrairement aux habitudes, Dream Theater ne jouait pas cette année au Zénith de Paris. Pourquoi ? Non pas parce que la salle ne leur plaisait pas, mais plutôt pour respecter jusqu’au bout le spectacle qu’ils voulaient offrir au spectateur : jouer en intégralité leur opéra-rock
The Astonishning
. Pas plus. Pas moins. Et pour cela, le Palais des Congrès, avec ses places assises, sa grande scène et ses lumières, convenait parfaitement. Conséquences : le prix des places augmentait avec une entrée de gamme à 53 euros et un carré or à 90 euros. Autant dire qu’il fallait y réfléchir à deux fois avant de prendre son billet.
Dimanche. 18h. Le groupe a déjà joué la veille au Palais des Congrès et est obligé de jouer plus tôt afin de respecter les horaires de la salle. Très bien, même si certaines personnes non prévenues riront jaune lorsqu’ils arriveront en plein pendant le premier acte. Mais bref, passons. Et oublions aussi le merchandising scandaleusement cher (bonjour T-shirt à 35 euros), pour nous concentrer sur la salle. Clairement, le Palais des Congrès est un lieu magnifique et les lumières déjà présentes annoncent un concert véritablement spectaculaire, tout comme la tapisserie pourpre marquée du symbole de Dream Theater en or et la carte, reflétant bien le concept de
The Astonishing
.
Mais trêve de bavardages et passons à la musique. Les quatre instrumentistes arrivent sur l’air de "Dystopian Overture". Le morceau est bien retranscrit, mais le son est trop fort, même si l’on entend plutôt bien l’ensemble des instruments. On regrettera que par moments les médiums bavent un peu, cachant un son de guitare ou de clavier. Après un accueil chaleureux du public, Labrie arrive sur "The Gift of Music". L’ensemble de la salle retient son souffle au vu de la difficulté et du nombre conséquent de lignes de chants présentes sur album. Et le Canadien se débrouillera avec les honneurs, n’hésitant pas à nous offrir les passages les plus difficiles ("Ravenskill" notamment) lorsqu’il ne peut pas tout chanter (les dialogues notamment). Vraiment, mis à part quelques ratés crispants ("Act of Faythe"), James Labrie n’a pas à rougir de sa prestation. Il arrivera même par moments à procurer de véritables frissons (l’enchaînement "Lord Nafaryus", "Savior in the Square", "Time has Come" ; "The X Aspect" ; "A New Beginning") et sortira comme le grand le vainqueur de la soirée.
Une soirée qui se déroule d’ailleurs de manière très calme et très professionnelle. Certes, les lumières sont magnifiques, certes les musiciens jouent bien et la majorité des morceaux gagnent beaucoup d’intensité en live. Certes "A New Beginning" démonte absolument tout et le solo de John Petrucci, agrémenté par le groove de John Myung, fut très cool. Mais quand même ! Les interactions avec le public se comptent sur les doigts d’une main, les orchestrations enregistrées font de temps en temps perdre le côté live et brut des concerts de Dream Theater. Les animations à l’arrière, même si elles ne sont pas folles, retranscrivent assez bien l’histoire pour ceux qui la connaissent, les autres seront perdus. Et cela contribue encore à mettre de la distance avec le groupe. Pas de zoom plongeant sur le clavier de Rudess, pas non plus de caméras braquées sur le manche de Petrucci. De l'animation, des visuels, sinon rien. Le groupe sert ici la musique et seulement la musique : un choix assumé, mais qui fait que le concert manque un peu de vie (le public assis n'aidant pas non plus).
Il faudra attendre "Hymn of a Thousand Voices" pour que le groupe se décoince un peu et se mette à sourire très franchement. James Labrie enjoint le public à taper des mains et celui-ci s’exécute avec plaisir. Puis lors de "Our New World" l’ambiance tourne à la fête, le public se remue davantage et finit même le morceau debout. Il faudra toutefois attendre le final "The Astonishing" pour que le public se décide à quitter son siège pour aller se placer juste devant la scène, provoquant une peur panique de la sécurité et le sourire hilare des gars de Dream Theater. Un final enlevé qui tranche avec le côté un peu trop sage du reste du concert. Dommage, mais le public était tout de même prévenu.
The Astonishing
en live fonctionne à merveille. Le groupe joue bien, Labrie impressionne au chant, les lumières en mettent plein la vue, certains passages gagnent en patate ou en émotions. Dommage que la distance des musiciens, dictée par leur volonté de mettre l’œuvre plus en avant, coupe quelque peu le lien avec le public. Malgré cela, la soirée fut très agréable, mais nous reprendrons bien un peu de classiques de Dream Theater pour la prochaine fois.
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