Eternotop 2021



 


Belzaran




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DVNE - Etemen Ænka
Etemen Ænka est de l’ordre des chefs d’œuvre. En utilisant les mêmes éléments que précédemment, mais en les sublimant en tous points, Dvne produit un album d’une grande personnalité, maîtrisé de bout en bout. Et malgré la durée des morceaux, on ne voit jamais le temps passer tant ils regorgent de moments marquants.

STORTREGN - Impermanence
Impermanence est un voyage dont on ne ressort pas indemne. On ne peut pas vraiment dire que Stortregn confirme son talent. Ce serait leur faire offense. Ils s’imposent comme un groupe qui compte. Avec un album concept maîtrisé de bout en bout, technique, prog et mélodique, à l’artwork soigné, les Suisses nous proposent l'un des albums de l’année.

LIVLØS - And Then There Were None
Après un premier album plus classique, Livløs semble avoir trouvé sa voie. Plus death metal, plus riche aussi, ce second effort les fait entrer dans la cour des grands. En espérant qu’ils ne resteront pas dans l’ombre tant ce And Then There Were None est réjouissant.

DANTALION - Time to Pass Away
Dantalion accouche d'un album puissant, racé. Sombre, désespéré, il n'en garde pas moins des éléments mélodiques rappelant par moments Misþyrming qui apportent un peu de lumière.

MY OWN PRIVATE ALASKA - Let This Rope Cross All The Lands (EP)
Du pianocore ? Après dix ans de silence, le retour surprise des Français. La magie est toujours là, entre ambiances glaciales et désespoir rageur.

NINKHARSAG - The Dread March of Solemn Gods
Si vous êtes déçus que Dissection ait produit si peu d'albums (et c'est bien légitime), Ninkharsag vous propose plus ou moins la même chose. C'est très réussi, très inspiré (dans les deux sens du terme). Du black/death mélodique de qualité.

FEAR CONNECTION - Progeny of a Social Disease
La pochette est immonde mais la beauté est intérieure, n'est-ce pas ? Du thrash punk allemand qui va droit au but. C'est diablement efficace. L'album parfait quand on a besoin d'une bonne claque dans la gueule.

THE LURKING FEAR - Death, Madness, Horror, Decay
Prenez la moitié du line-up d'At the Gates et faites leur jouer du death metal. Ça ressemble donc à du At The Gates plus énervé, plus puissant, plus violent. Un pépite d'agressivité, un parfait défouloir.

GRAND CADAVER - Madness comes (EP)
Du death qui tache avec Mikael Stanne au chant. Faut croire que le melodeath avait comme une envie de laisser tomber la mélodie pour la violence crasseuse. Ça marche très bien sur cet EP, un peu moins sur l'album qui a suivi.

[CODE] - Flyblown Prince
Clairement passé dans un registre post-metal, Code continue son évolution. Le groupe tire son essence des atmosphères de ses origines black metal. Dérangeant, malsain, empreint de folie, ce Flyblown Prince est une belle œuvre, personnelle et puissante.

Ils tapent à la porte : Crisix et son EP thrash débridé, Be'lakor et leur retour aux sources pas complètement réussi, The Generals et leur death mélo thrash, Grand Cadaver et leur death porté par Mikael Stanne






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